Au Niger, à l’instar de certains pays, la fin du premier et du second cycle de l’enseignement secondaire général est sanctionnée par un examen. Il s’agit de celui du brevet d’études du premier cycle (BEPC), du brevet technique supérieur (BTS) d’état et du baccalauréat.
Ces dernières années l’organisation de ces examens connait des perturbations liées à la corruption et aux infractions assimilées comme la fraude, les tricheries.
Cette année, s’agissant des examens du baccalauréat, plusieurs cas de fraudes ont été décelés malgré les mises en gardes et les mesures prises. En conséquence, des vagues d’arrestations ont eu lieu dans les rangs des candidats notamment à Niamey et à l’intérieur du pays. Niamey.
Qu’est-ce qui explique cette récurrence des fraudes aux examens ?
Quelles sont les conséquences ?
Comment prévenir et mettre fin à ces fraudes au Niger ?
Pour répondre à ces questions et à bien d’autres, Fati Zakari a invité :
– Effred Hassane : secrétaire chargé à la presse de l’union des scolaires du Niger (USN),
– Issoufou Arzika : vice-président ASO-EPT
– Elhadj Yacouba Yayé : président de l’association des parents d’élèves, section de Niamey.
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