Dans le cadre d’une formation sous régionale tenue à Niamey en janvier a l’intention des journalistes des studios Tamani et Kalangou, il a été question de faire l’état des lieux de l’esclavage au sahel, les conséquences et les synergies d’actions possibles pour l’éradication de ce phénomène de société.

La constitution du Niger réaffirme le droit du citoyen d’être libre de toute forme d’esclavage et consacre le principe d’égalité devant la loi sans distinction de sexe, d’origine sociale, raciale, ethnique ou religieuse. Comment expliquer la persistance du phénomène ?

Au Mali, une frange importante de certaines victimes de domination, d’exploitation, d’exclusion et d’autres formes de discrimination liées à l’esclavage reste encore silencieuse ; comment l’expliquer ?

Pour débattre, nous avons invité :

– Ali Bouzou, président de l’association « TRIMIDRIA », une association qui lutte contre l’esclavage au Niger.

– Au téléphone depuis Bamako Ibrahim Ag Idbaltanat , le président d’honneur de l’ Association « Temedt », une association qui lutte contre l’esclavage au Mali.

– Mai Moussa Mahamane; juriste et commissaire divisionnaire à la Commission Nationale des Droits Humains, CNDH, au Niger.

Présentation : Moctar Hamadou de Kalangou et Ibrahima Harane Diallo de Tamani.

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