«Les Hommes naissent libres et égaux en droit », stipule la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Cependant cette affirmation est mise à rude épreuve avec les résultats des analyses effectuées au Niger, sur la situation des droits des enfants.

Malgré l’existence d’un arsenal juridique qui protège les droits de ces enfants, force est de constater que la situation de cette franche de la population nigérienne, qui représente plus de 56%, n’est guère reluisante. Avec un taux de pauvreté de 44,1% et un revenu moyen par habitant de 420 dollars, cette pauvreté a des répercussions graves sur : l’accès des enfants à une alimentation saine et équilibrée, des ressources financières suffisantes, des services de santé adéquats, le maintien à l’école et une éducation de qualité, le droit aux loisirs etc.

Quels sont les droits reconnus aux enfants et leur application au Niger ?

Quelles sont les avancées et contraintes observées ainsi que les voies de recours possibles dans la pratique, en cette matière ?

Les perspectives envisagées pour une meilleure réalisation des droits des enfants au Niger ?

C’est pour répondre à ces questions que Balkissa Hamidou a invité :

• Mourzanatou Mareni, du ministère de la promotion de la femme et de la protection des enfants ;
• Hamidou Adama du ministère de la promotion de la femme et de la protection des enfants ;
• Zakari Ibrahim de la Coalition des organisations nigériennes de défense des droits des enfants;
• Salmey Halima, membre de l’ONG SOS femmes et enfants victimes de violences familiales.

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