Quelle est la différence et les caractéristiques entre une école passerelle et une école dite de la seconde chance ?

Quelles sont les localités concernées par le ciblage et l’expérimentation de ces écoles ?

Quel sont les différents secteurs concernés par la Direction de l’Education Non Formelle ?

Quel intérêt le gouvernement Nigérien accord-t-il aux écoles passerelles et les écoles de la seconde chance ?

Comment amener les familles ou les parents de ces enfants à comprendre ou à adhérer à cette démarche novatrice ?

Comment se fait la prise en charge des enseignants de ces écoles ?

Quels sont les autres partenaires qui interviennent dans le cadre du soutien et de l’appui aux écoles dites passerelles ou de seconde chances ?

Combien d’enfants, par an, sont concernés par les écoles passerelles et les écoles de la seconde chances ?

Comment contribuer significativement au développement socio-économique du Niger une fois sorti de ces écoles ?

Est-ce que les élèves de ces écoles sont pris en compte dans les statistiques du Niger dans le volet enseignement primaire ?

Comment les élèves issus de ces écoles arrivent à intégrer les écoles classiques, la classe de 6ème par exemple ?

Peut on comparer le niveau ou les performances des élèves issus des ces écoles avec ceux des écoles classiques ?

 

Invités :
– Moussa ABOUBACAR, Directeur de l’Education Non Formelle au Ministère de l’enseignement primaire ;
– Ali ABDOULAYE, Coordonnateur National de l’ONG Volontaire pour l’Intégration Éducative (VIE KANDE NIBAYRA) suspendue provisoirement.

 

Présentation : Moctar Hamadou

 

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