La contribution des ainé(es) d’une fratrie dans l’éducation des plus jeunes : quelles sont les difficultés ?
Enregistrement de l'émission " Tous à la fada " / Studio kalangou

La contribution des ainé(es) d’une fratrie dans l’éducation des plus jeunes : quelles sont les difficultés ?

Etre une grande sœur ou un grand frère n’est pas du tout facile, surtout si on prend cette place au sérieux, cela signifie que tu dois être un bon exemple, un encadreur etc… Penser qu’il est plus difficile d’arriver en premier, second ou autre, relève d’un vieux concept.

Selon le site psychologies.com, ce n’est pas le rang occupé dans la fratrie qui importe, mais l’enfant lui-même, sa personnalité, son développement, sa capacité d’adaptation. Déjà avec l’arrivée d’un petit frère ou une petite sœur on sent que l’amour des parents sera partagé, ce qui crée un sentiment de jalousie chez l’ainé, mais avec l’âge, le fait d’être le plus grand prend d’autres interprétations : C’est Alfred Adler, médecin, psychothérapeute autrichien et disciple de Freud, qui a été le premier à dresser une typologie de la personnalité en fonction du rang de naissance. Il décrit l’aîné comme un leader autoritaire, qui se montre sérieux, consciencieux, perfectionniste, sûr de lui mais prudent, et assez conservateur… 

  • Etre la ou le premier enfant dans une famille, est-ce occuper une place particulière ?
  • Comment cette position d’aîné nous influence-t-elle sur la manière dont on doit vivre ou s’occuper de nos cadets?
  • Les filles font-elles de “meilleures” aînées que les garçons ?

Avec nos amis jeunes ainés et cadets bien sûr nous allons essayer de répondre à toutes ces questions et bien d’autres.

Nous sommes avec :

Amina Salifou : ainée de sa famille

Farida Mounkaila : cadette de sa famille

Alimatou Sadiya Mamane : ainée de sa famille

Rachidatou Abdou Douma : cadette de sa famille

Rachidatou Djibrilla Halidou : ainée

Présentation : Habibou GARBA