[Rediffusion] Comment maintenir les filles à l’école dans la région de  Tillabéry touchée  par  les conflits armés ? 
Les enfants du village de Guéchémé utilisent l'espace de prière d'un présage pour poursuivre leurs études pendant la construction d'une nouvelle école, le 20 novembre 2015 / Photo: © Stephan Gladieu / World Bank / CC BY-NC-ND 2.0

[Rediffusion] Comment maintenir les filles à l’école dans la région de  Tillabéry touchée  par  les conflits armés ? 

Au Niger, 890 écoles ont été fermées dont 855 écoles primaires et 35 établissements d’enseignement secondaire privant ainsi près de 72.000 apprenants d’un accès à l’éducation parmi lesquelles 38 194 sont des filles, selon le rapport du mois d’août 2022 publié par l’UNICEF.

La région de Tillabéry, confrontée, depuis 2017, à des attaques armées attribuées aux groupes terroristes opérant dans le nord du Mali, compte à elle seule 817 écoles fermées, dont 784 écoles primaires et 33 établissements d’enseignement secondaire. Ce sont 71 936 enfants qui sont touchés par la fermeture des écoles, dont 35 811 filles selon l’agence onusienne dans cette région. La menace persistante des éléments présumés de groupes armés non étatiques (GANE) opérant à l’ouest de Tillabéry, a provoqué d’importants mouvements de populations et le décrochage scolaire de nombreux élèves obligés de fuir leurs villages avec leurs parents.

Mais  «Comment maintenir les filles à l’école dans la région de  Tillabéry touchée  par  les conflits armés ? 

Pour répondre à cette principale interrogation Boubacar Oumarou a reçu :

Sadou Hassane : secrétaire général du syndicat des enseignants CNACEPT de Tillabéry.

Harouna Issaka, coordonnateur  régional CDTN de Tillabéry ….  

Madame Zakari Hamsatou, représentante DREN/ Tillabéry. 

Harouna Issaka, directeur de l’école primaire de  Diamballa.

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