Contribution des structures de jeunesse dans la lutte contre le mariage des enfants : qu’est ce qui bloque ?
Enregistrement de l'émission " Tous à la fada " / Crédit photo : Kader Tchiombiano/ Studio Kalangou

Contribution des structures de jeunesse dans la lutte contre le mariage des enfants : qu’est ce qui bloque ?

La semaine dernière nous étions dans la région de Dosso pour parler des freins dans la lutte contre le mariage des enfants.

Aujourd’hui, la fada reste à Niamey pour en parler avec d’autres acteurs.

Au Niger, la pratique du mariage des enfants persiste bien que le code civil en son article 144 fixe l’âge minimum de mariage à 15 ans pour la fille et 18 ans pour le garçon.

Selon l’UNICEF, le Niger a le taux le plus élevé au monde en ce qui concerne le mariage des enfants, se positionnant en tête du classement international.  .

Néanmoins, les filles qui ont bénéficié d’une éducation sont généralement moins exposées à ces mariages que celles qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’école.

Cependant, pour apporter un changement au Niger, les jeunes militent contre la pratique au profit du maintien des enfants à l’école, notamment les filles.   

  • Comment ces structures mènent elles la lutte contre le mariage des enfants ?
  • Qu’est ce qui bloque l’évolution de leurs activités ?

Pour en parler nous avons invité :

  • Zeïnabou Boubacar, présidente de la fada des filles ;
  • Nafissa Mahamadou, du comité des jeunes filles leaders ;
  • Rabia Souley, secrétaire générale de la fada des filles ;
  • Moctar Doulaye, animateur et présentateur d’émissions à la radio jeunesse Goudel;

Présentation ; Samira Rouafi.