La place des pratiques culturelles nigériennes dans le ramadan
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La place des pratiques culturelles nigériennes dans le ramadan

Le mois de ramadan rime avec générosité. Et comme l’enseignent les prescriptions religieuses, les récompenses pour les bonnes actions du fidèle sont multipliées.

Au Niger, des pratiques culturelles accompagnent ce mois de jeûne. Il s’agit notamment du don de sucre, de la tournée dans le quartier du crieur public, chargé de réveiller le voisinage pour le souhour, ou encore de l’habituel carnaval des enfants appelé « Tobey-Tobey » en Zarma ou encore « Tashé » en hausa.

Mais, est-ce que ces pratiques existent toujours de nos jours ?

-Quelle est l’origine de ces rituels culturels longtemps pratiqués au Niger ?

-Est-ce que ces pratiques ont gardé leur originalité?  

-Quelle est la vision de l’islam sur ces pratiques culturelles ? 

A toutes ces questions, pour trouver des réponses, Hadiza Hassane reçoit :

Mme Saa Adamou : Personne âgée

Ibrahim Amadou Bagna : sociologue

Ali Saley : chef de quartier Antafey à Goudel (au téléphone)