L’éducation sexuelle au Niger, qui doit s’en charger ?
Enregistrement de la Fada sur l'éducation sexuelle des jeunes

L’éducation sexuelle au Niger, qui doit s’en charger ?

L’éducation sexuelle est un sujet plus ou moins tabou au Niger. Même si ce sujet date de février 1985, selon le rapport de décembre 2020 sur la cartographie des acteurs impliqués dans l’éducation de la santé reproductive des adolescents et des jeunes. Suite aux multiples grossesses observées chez les jeunes élèves de la ville de Matamèye lors d’une de ses visites (avec des conséquences telles que : des abandons scolaires, des avortements à risque ou encore des infanticides), le chef de l’Etat du Niger de l’époque, le général Seyni Kountché avait lancé après une visite dans la région de Zinder, « l’appel de Matamèye ».
Ce dernier stipule : « les parents d’élèves et les responsables du système éducatif sont appelés à plus de responsabilité dans la sécurisation des adolescents et des jeunes, en l’occurrence les filles ».

En compagnie de nos invités, aujourd’hui on évoque encore une fois de plus ce sujet dans « Tous à la fada » pour situer les responsabilités.

  • Mariam Abdou, du RJA/SRPF (réseau des jeunes ambassadeurs pour la santé de la reproduction et la planification familiale
  • Nafissa Idi, du COJEFIL (Comité des Jeunes Filles leaders)
  • Abdoul Nasser Moumouni Adamou, Journaliste impliqué dans les questions de la santé de la reproduction

Présentation Fanta Chamsou.

La fada en franco-haoussa