Depuis la fermeture des frontières terrestres du Niger avec les pays de la CEDEAO, à Gaya le fleuve est devenu la principale voie de traversée pour les populations qui malgré les défis continuent de maintenir les liens. Cette situation, exacerbée par la menace d’une intervention militaire, a entraîné le déploiement des forces armées nigériennes dans le département pour assurer la sécurité des personnes malgré ces circonstances complexes.

 Le préfet de Gaya, le capitaine Boureima Seyni, revient sur ces défis sécuritaires dans un entretien avec Fhadel ALOU.

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