Comment êtes-vous arrivé dans le domaine de l’information?

Quelles sont les difficultés que vous rencontré pour y accéder ?

Depuis quelques années, les médias Nigériens en général et les médias privés en particulier, traversent de périodes difficiles. Quelles sont les constats qui expliquent ces difficultés?

En tant que femme, pourquoi avez-vous choisi de travailler dans les médias?

Quelles sont les difficultés que vous avez eu à surmonter à l’apprentissage et pendant votre carrière dans ce secteur plein de contraintes pour la femme ?

Pourquoi le pouvoir a tendance à museler ou domestiquer les médias en général ?

En temps pionnier de la presse indépendante, aujourd’hui quel regard sur la presse Nigérienne ?

Comment expliquer ce désir et ou cette tentative effréné des différents pouvoirs de mieux contrôler les médias d’Etat et même ceux dits indépendants ?

Quel est le chemin parcouru dans le paysage médiatique Nigérien de 1990 à nos jours ?

Pourquoi les étudiants ne s’intéressent pas à la presse écrite et surtout les femmes ?

Comment garantir une presse écrite indépendante et de qualité au Niger quand certains citoyens s’adonnent à cœur joie au partage des journaux sur les réseaux sociaux au lieu de les acheter?

Tout le monde s’accorde à reconnaitre l’importance du développement du numérique, comment réinventer la presse Nigérienne pour qu’elle s’adapte à l’évolution de la société ?

Comment multiplier les sources d‘information au Niger surtout au niveau de l’administration où seuls les médias d’Etat ont accès à quelques informations ?

28 ans après la libéralisation du secteur de la communication et de l’information, comment expliquer la persistance de la précarité dans le secteur des médias au Niger ?

Qu’est-ce qu’on enseigne aux étudiants dans les instituts et écoles de formation en journalisme car beaucoup apprennent surtout une fois dans les organes, tantôt comme employés, tantôt pendant les stages ?

Les journalistes étaient très bien écoutés, remarqués, enviés, considérés, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui au Niger. Le journaliste est même chassé comme un malpropre, pourquoi ?

Comment améliorer le contenu pour augmenter l’audience et attirer plus d’annonceurs,

Pourquoi ça ne marche pas ?

 

Invités:

– Habou Adi : Journaliste à la voix du sahel , enseignant vacataire à l’institut de formation aux techniques de l’information et de la communication (IFTIC);

– Amina Niandou : Présidente de l’Association des professionnelles Africaines de la communication, en abrégé APAC section du Niger;

– Albert CHAIBOU : Journaliste-critique-cinéma.

 

Présentation de Moctar Hamadou

 

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